Richard, Claudine, Sylvain et Catherine - 1964
- Claudine, tu pourrais te décaler légèrement sur la gauche ?
- nan !!!
- bon, tant pis.
Candice - Avril 2025
Sylvain - 1976
Portrait de Louis XIV enfant, attribué à Jean Nocret, vers 1650
Richard - 1976 puis 2023
Debout : Catherine, Daniel et Lucie.
Assis : Richard, Claudine, Guy, Sylvain, Danielle.
Puis Claude et Christiane
Lorien - 1960
Anne, Claudine, Claire, Jean-Francis - Jouy-en-Josas - 1987
Scène pastorale - Marbre, période augustiniène
Connaissez-vous cette histoire frivole
D'un certain âne illustre dans l'école ?
Dans l'écurie on vint lui présenter
Pour son diner deux mesures égales,
De même force, à pareils intervalles ;
Des deux côtés l'âne se vit tenter
Également, et, dressant ses oreilles,
Juste au milieu des deux formes pareilles,
De l'équilibre accomplissant les lois,
Mourut de faim, de peur de faire un choix.
: Voltaire - La Pucelle d'Orléans, chant XII
: : : Athéniens !
Un forcené vient d'être maitrisé
par les brigades grammaticales d'interventions
alors qu'entré par effraction dans les locaux
vacants de l'imprimerie nationale
il tentait d'intervertir l'ordre alphabétique
de toutes les lettres afin de porter
outrage à l'ordre du langage
: : : Valère Novarina
Alessandro Barcelona et Claudine :
Concert à la Collégiale d'Avallon - Mars 2014
et au Château de Lachaux - Juin 2014
Claudine à 9 ans - Dessin de Claude Migeon
: : : L'air, la terre et l'eau
De la Haute Savoie au Jura puis au bord du lac des Settons
: : : Claudine
Rompre avec les choses réelles,
ce n'est rien ;
mais avec les souvenirs !
le cœur se brise à la séparation des songes,
tant il y a peu de réalité dans l'homme.
: Vie de Rancé (1844)
: François-René de Chateaubriand
Dessin sur carton, techniques mixtes - Rolf Ibach - 1985
Rolf Ibach dans son atelier - 1992
Sur la porte de l'atelier graphique de l'Unesco - 1976
Si seulement je croyais que l'histoire des hommes possède un avant et un après !
Mais c'est une pieuvre sans face ni dos.
Pour moi, il n'est pas de mots plus vide de sens que "progrès".
Quel progrès, Hilarion Pavlovitch ? Partant d'où pour arriver où?
Est-ce que les hommes se sont amélioré en vingt-sept siècles ?
Moralement ? Sont-ils simplement plus heureux ?
Non, ils sont pires, plus méchants, plus malheureux !
Et tout cela par la faute exclusive des belles idées !
: Le Premier Cercle
: Alexandre Soljenitsyne
Mostar au temps de la Yougoslavie et Tito - 1954
C'est Bob qui prit cette photo, j'avais cinq ans, et je m'en souviens très bien.
Igor Stravinsky puis Vladimir Maïakovski par Pierre Choumoff
1920
: Écoutez !
Puisqu'on allume les étoiles,
c'est qu'elles sont à
quelqu'un nécessaires ?
C'est que quelqu'un désire
qu'elles soient ?
C'est que quelqu'un dit perles
ces crachats ?
Et, forçant la bourrasque à midi des poussières,
il fonce jusqu'à Dieu,
craint d'arriver trop tard, pleure,
baise sa main noueuse, implore
il lui faut une étoile !
jure qu'il ne peut supporter
son martyre sans étoiles.
: Ensuite,
il promène son angoisse,
il fait semblant d'être calme.
Il dit à quelqu'un :
" Maintenant, tu vas mieux,
n'est-ce pas ? T'as plus peur ? Dis ? "
: Écoutez !
Puisqu'on allume les étoiles,
c'est qu'elles sont à quelqu'un nécessaires ?
c'est qu'il est indispensable,
que tous les soirs au-dessus des toits
se mette à luire seule au moins
une étoile ?
: Vladimir Maïakovski
Société Française Radio-Électrique - Labo de Physique et Chimie
Bob Cheriez et Serge Choumoff - Février 1942
Pour n’avoir pas fait disparaître toutes les traces d’identification
d’une lampe qu’il a fournie, il permet à la traque de remonter la filière,
via le fabricant, jusqu’à lui : il est arrêté le 11 mars 1942.
D’abord enfermé à la prison du Dépôt, il est remis à la Gestapo
et incarcéré dans les prisons allemandes du Cherche-Midi,
puis du Fort de Romainville le 24 août.
Le 21 septembre, s’il ne figure pas parmi les cent seize fusillés
en représailles pour l’attentat au cinéma Rex, c’est que son nom
a été transcrit à l’allemande (Sch au lieu de Ch…) : il s’est retrouvé en fin de liste.
En application du décret « NN », il est déporté le 1er avril 1943 à Mauthausen,
avec les premiers Français.
Madeleine et Serge Choumoff - 1956
Madeleine, JF (on voit clairement sur la photo
que le petit JF est un petit dernier, si si, ça se voit !)
Mauricette et Bob - Bonneville - 1956
Madeleine, Pierre et Serge Choumoff
Nous les rescapés
Dans les ossements desquels la mort tailla ses flûtes
Sur les tendons desquels la mort déjà frotta son archet -
La musique mutilée de nos corps poursuit
Sa complainte.
Nous les rescapés,
Devant nous dans l'air bleu
Continuent de prendre les cordes nouées pour nous -
Les horloges continuent de se remplir des gouttes de notre sang.
Nous les rescapés,
Les vers de la peur continuent de se repaître de nous.
Notre astre est enterré dans la poussière.
Nous les rescapés,
Vous supplions :
Montrez-nous lentement votre soleil.
A votre pas conduisez-nous d'étoile en étoile.
Laissez-nous tout bas réapprendre la vie.
Sinon le chant d'un oiseau,
L'eau dans le seau à la fontaine,
Pourraient faire se rouvrir notre douleur mal scellée
Et nous emporter avec l'écume -
Nous vous supplions :
Ne nous montrez pas encore un chien qui mord -
Il se pourrait, il se pourrait
Que sous vos yeux nous tombions en poussière.
Qu'est-ce donc qui tient ensemble notre trame ?
Pauvres de souffle désormais,
Nous dont l'âme du fond de minuit s'enfuyait vers Lui
Bien avant qu'on ne sauve notre corps
Dans l'arche de l'instant.
Nous les rescapés,
Nous serrons votre main,
Nous reconnaissons votre œil -
Mais seul l'adieu nous maintient encore ensemble,
L'adieu dans la poussière
Nous maintient ensemble avec vous.
: Chor der Geretteten - 1946 - Nelly Sachs
Je n'ai pas peur de la mort,
mais quand elle se présentera,
j'aimerais autant être absent.
: Woody Allen
: : : Si le bonheur était véritablement
désirable pour l'être humain,
l'idiot représenterait incontestablement
le plus beau spécimen de la race.
: : : Friedrich Nietzsche
Ce fin bricoleur de JF se met en scène.
"Werkzeugkasten, pipon, pipon" (sur un air de musique : "boite à outils")
Il importe à toute la vie
de savoir si l'âme est mortelle ou immortelle.
Le dernier acte est sanglant
quelque belle que soit la comédie en tout le reste.
On jette enfin de la terre
sur la tête
et en voilà pour jamais.
Nous courons sans souci dans le précipice après
que nous avons mis quelque chose devant nous
pour nous empêcher de le voir.
: XII Commencement
: Pensées
: Blaise Pascal
La caravane au moulin du Guidon.
Wohnwagen - Ulrich Schreiber
La petite caravane d'Uli Schreiber,
suspendue devant un ciel italien de Anne,
sous le auvent des Crouteaux
Le Caravage a remplacé la lumière universelle de la Renaissance
platonicienne par une lumière quotidienne et dramatique.
Ces nouveaux types de personnes comme ce nouveau type de lumière,
il les a inventés parce qu’il les a vus dans le monde réel.
Il s’est rendu compte qu’autour de lui, il y avait des hommes
qui n’étaient jamais représentés dans les grands retables ou les fresques ;
et qu’il y avait des heures du jour, certains éclairages fugitifs mais absolus,
qui n’avaient jamais été reproduits et qui, de plus en plus éloignés
de l’usage et de la norme, avaient fini par devenir scandaleux et par disparaître.
À tel point qu’il est probable que les peintres, voire les hommes en général
jusqu’au Caravage, ne les voyaient même pas.
: Texte de Pier Paolo Pasolini, 1974
Le Caravage - Le Joueur de luth
Saint-Pétersbourg - Musée de l'Ermitage - vers 1595
Candice - 2023
Et si Candice était ici le modèle que, devant le chevalet
de son atelier, le Caravage avait choisi ?
À moins que ce soit dans l'atelier du Clos-Lucé,
face à Léonard de Vinci ?
Daphnée et Alice
: : : Flora Tristan à Auxerre, juin 1844
Elle ouvrit l'œil à quatre heures du matin et pensa :
"c'est aujourd'hui que tu commences à changer le monde, Florita."
Nullement inquiète à la perspective de mettre en marche
le mécanisme qui, au bout de quelques années, devait transformer
l'humanité en faisant disparaître l'injustice.
: : : Mario Vargas Llosa
: : : Le Paradis - un peu plus loin
Garouste - L'étudiant et l'autre lui-même - 2007 - Huile sur toile
J'ai dessiné beaucoup. Dans mes carnets, rien n'est en couleur,
mais je les vois. Et j'aime qu'il y ait le plus de temps possible entre un croquis
et un tableau, au minimum trois Mois. Alors, après l'étude, je traverse le jardin,
je deviens un artisan. Quand je peins, c'est comme si mes mains décidaient,
j'aime ce moment où il n'y a plus qu'elles, la tête se relâche.
Je vis la peinture au premier degré, comme une matière, une chimie,
une alchimie. Je ne la fabrique plus maintenant, mais elle reste à mes yeux
des pigments et de l'huile sur une palette, elle ne prend son sens que
sur la toile, lorsqu'elle donne vie au sujet, à l'histoire que j'ai choisi de raconter.
L'intranquile, Gérard Garouste
La maison du Canada à Bonneville.
De sa construction en 1952, (où l'on devine ce costaud de JF
maniant déjà la pelle avec dextérité, sous l'œil sagace et intraitable
de Bob) à sa représentation sur toile, quelques années plus tard,
par Claude Pelletier.
Maison Cheriez à Enghein - 1924
Maison Cheriez-Barreau à Bois-Verna - Port-au-Prince, Haïti - 1912
Maison de Gertrude - dans « Bas-Peu-de-Chose » à Port-au-Prince
Haïti - Port au Prince - Bellevue et Peu-de-Chose
Sano di Pietro - Fuite en Égypte - 1450 - Musée du Vatican
Sans Bach,
la théologie serait dépourvue d'objet,
la création fictive
le néant péremptoire ;
si il y a quelqu'un
qui doit tout à Bach,
c'est Dieu
: Emil Cioran
Paysage provençal - Aquarelle de Jules Pinasseau - 1919
claudine - Carmen à Dijon - 2003
De Carmen à Lola
Lola de Valence - Édouard Manet, 1862
Et vous mademoiselle, ou madame, vous êtes probablement de Cordoue ?
— Non.
— Vous êtes du moins Andalouse. Il me semble le reconnaître à votre doux parler.
— Si vous remarquez si bien l’accent du monde, vous devez bien deviner qui je suis.
— Je crois que vous êtes du pays de Jésus, à deux pas du paradis.
— Bah ! le paradis… les gens d’ici disent qu’il n’est pas fait pour nous.
— Alors, vous seriez donc Moresque, ou… je m’arrêtais, n’osant dire : juive.
— Allons, allons ! vous voyez bien que je suis bohémienne ;
voulez-vous que je vous dise la baji ?
Avez-vous entendu parler de la Carmencita ? C’est moi.
: Carmen - Prosper Mérimée
claudine - Dieulefit - 1975
Le rappel de moments qu'on dit inoubliables.
Avec le recul j'appelle ça le bonheur
claudine - 2014 puis 2008
La mer à Oléron - Claude Migeon
Vous me demandez, ma chère enfant, si j’aime toujours bien la vie.
Je vous avoue que j’y trouve des chagrins cuisants ;
mais je suis encore plus dégoûtée de la mort :
je me trouve si malheureuse d’avoir à finir tout ceci par elle,
que si je pouvais retourner en arrière, je ne demanderais pas mieux.
Je me trouve dans un engagement qui m’embarrasse :
je suis embarquée dans la vie sans mon consentement;
il faut que j’en sorte, cela m’assomme, et comment en sortirai-je ?
par où ? par quelle porte ? quand sera-ce ? en quelle disposition ?
souffrirai-je mille et mille douleurs, qui me feront mourir désespérée ?
Aurai-je un transport au cerveau ? mourrai-je d’un accident ? comment serai-je avec Dieu ?
Qu’aurai-je à lui présenter ? la crainte, la nécessité feront-elles mon retour vers lui ?
N’aurai-je aucun autre sentiment que celui de la peur ? que puis-je espérer ?
suis-je digne du paradis? suis-je digne de l’enfer ? quelle alternative ! Quel embarras !
Je m’abîme dans ces pensées, et je trouve la mort si terrible,
que je hais plus la vie parce qu’elle m’y mène,
que par les épines qui s’y rencontrent.
Vous me direz que je veux vivre éternellement. Point du tout,
mais si on m’avait demandé mon avis,
j’aurais bien aimé à mourir entre les bras de ma nourrice :
cela m’aurait ôté bien des ennuis, et m’aurait donné le ciel
bien sûrement et bien aisément. (...)
: : : Lettre à Madame de Grignan, sa fille
: : : 16 mars 1672
: : : Madame de Sévigné
2021, Claudine et Christiane,
1979, Claudine et Claire,
2010, Claire et ses filles
puis 1957 Christiane et Claudine
.
Éte 1957
Mauricette, JF, Robert - 1951
Le jardin aux Crouteaux - Charny
Mais, quand d’un passé ancien rien ne subsiste, après la mort des êtres,
après la destruction des choses, seules, plus frêles mais plus vivaces,
plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l’odeur et la saveur
restent encore longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre,
à espérer, sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir,
sur leur gouttelette presque impalpable, l’édifice immense du souvenir.
Marcel Proust, Du côté de chez Swann
Le son des clarines dans l'air des alpages, c'est ma madeleine à moi.
qui vient construire le décor d'une pièce de théâtre :
la musique de mes racines.
Là, nous sommes dans le jardin des Crouteaux puis dans les alpages.
Nostalgique le JF !
Nostalgie encore !
Reblochon entamé sur une assiette
25 x 25 cm, reblochon et faïence, 2025
: Mon histoire commence le 1er janvier 1950.
Pendant les deux ans et plus qui ont précédé cette date
j'ai enduré, dans le monde des enfers, des tortures si atroces
qu'elles dépassent tout ce que peut se représenter l'immagination humaine.
À chaque comparution pour interrogatoire, je n'ai pas manqué
de crier à l'injustice.
Les sons lugubres et pathétiques de ma voix se sont propagés
en vagues d'echos jusqu'aux moindres recoins de la salles d'audience
du roi des enfers.
(...)
Afin de m'amener à résipiscence, ils ont mis au point la plus cruelle
des tortures qui ait jamais existé dans le monde des ombres :
ils m'ont jeté dans un chaudron d'huile bouillante, où ils m'ont tourné
et retourné pendant un bon moment, tout comme on fait frire un poulet,
la douleur que j'ai ressentie ne peut être exprimée par des mots.
(...)
« Ça y est, il est né ! »
J’ouvre les yeux et me vois, le corps tout collant
d’un liquide poisseux, allongé derrière la croupe d’une ânesse.
Juste ciel ! Qui aurait pu imaginer que moi, Ximen Nao,
un notable authentiaue, qui a reçu l’éducation
auprès d’un précepteur privé, qui sait lire et interpréter
les textes, deviendrais un ânon aux quatre sabots blancs
comme neige et au mufle rose pâle !
: La dure loi du karma
: Mo Yan
Le Christ des Rameaux
Allemagne du sud, dernier quart du XVe siècle
Hermione et Héloïse, 2024 puis
Anne et Claire, 1989
Charles-Auguste, fils de Charlotte (dite Zulnis) et de Jacques Hériez,
prend le nom de Charles-Auguste Chériez.
Que signifie ce "C" ajouté au nom Hériez ?
Il s'est dit que ce "C" correspondait au "C" de Charles.
Selon notre grand tante Andrée, il s'agirait plutôt du "C" de Charlotte, sa mère.
Mais oui ! Une célébration, un homage en quelque sorte.
La "couleur mamelouk" de Charlotte, fait de Charles-Auguste
un "quarteronné" et de Félix un "sang-mêlé".
Quant à ce bougre de JF... un sang plutôt dilué.
Charles, M. et Mme Crépeaux, M. de Lamarre - 1920
Estampe de Fernand Crépeaux
: : Paris, Ie 10 février (1858)
Mon bon,
Vous êtes bien gentil de penser à moi et je commençais à trouver que vous
m'oubliez un peu. Notre excuse commune est, à ce qu'il paraît, l'emmerdement,
le mien n'a pas été mince. J'ai été occupé à mon arrivée par des affaires de théâtre ;
on voulait mettre la Bovary sur les planches.
Or, comme j'ai l'habitude d'entrer dans les choses par la grande porte,
il m'a semblé honteux de commencer ma carrière dramatique par une collaboration
quelconque. Il est vrai que mon nom n'eût pas été sur l'affiche.
On me demandait seulement mon titre. Et je touchais des droits assez considérables.
Dennery devait faire cette ordure, etc., etc.
Bref j'ai tout refusé. C'est un gain de [sic] trentaine de mille francs dont je me prive.
Merde, voilà comme je suis, pauvre mais honnête.
J'entrais dans la catégorie des faiseurs, je me suis cabré d'orgueil.
Telle est l'histoire. La chose devait se passer à la Porte-Saint-Martin.
C'est ce qui vous explique ma présence dans cet établissement où l'on m'a vu
pendant un bal masqué. Je venais pour parler à Fournier et j'y suis resté
une demi-heure. Oh ! non, mon pauvre vieux, je batifole bien peu,
pour ne pas dire point du tout. Jamais je n'ai moins encensé les autels de Vénus.
(…)
Gustave Flaubert à Ambroise Alfred Baudry (1838-1906)
Christiane et son frère Guy
1932 puis 1945
Anne Cheriez - Berlin, Acrylique sur toile, 2011, 97 x 130 cm
Tu que no puedes (Toi qui n'en peux plus)
Dessin préparatoire pour une gravure de la série "Los caprichos"
Francisco de Goya - 1799
Catherine, Christiane, Sylvain, Claudine, Richard,
autrement dit, ou presque, la famille Migeon.
Trouvée parmi les photos de famille :
Composition parfaite dans une symétrie classique légèrement transgressée,
atmosphère sérieuse par les postures hiératiques des personnages...
mais au fait, de quelle famille s'agit-il ?
Cette manie de ne mettre ni noms ni légende derrière les photos !
Alix, Andrée, Herminie, les trois sœurs Deroo - 1940.
Gertrude et Lise Cheriez, Albert Éthéart - 1924.
Raymond Pinasseau, sa 2CV, Mauricette, Raymonde Pinasseau,
son père, la 203 et son œil vif.
Devant la maison du Canada à Bonneville - 1960.
Claudine devant la maison de Lorien (Morvan) - 2023
Yves et Isabelle et leurs enfants, Suzan et Donald - Detroit - 1958.
Puis David, Diana (épouse de Donald) et Danielle - 1973
Donald, JF, Carol et Marie-Laure - Paris - 2015
------------------------------